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jeudi 28 mars 2013

essai

essai de publication, à défaut de pouvoir ouvrir ton blog, mon petit Bubul !
Si un lecteur passe par là, merci de m'écrire à mon adresse e-mail pour me faire savoir si vous arrivez à ouvrir ce blog, ainsi que les autres que vous fréquentez !
colibri.blogs@orange.fr

mardi 26 mars 2013

welcome to you, Eric, on the Rainbow bridge


Retrouvez Eric sur son blog
et celui de de son frère Flynn
http://twodevoncats.blogspot.com
 Billet rédigé par Zébulon
Welcome to you, dear Eric, we were waiting for you on the Rainbow Bridge, but, you know, we were not in hurry at all !
Here, in our wonderful land over the Rainbow, you will find many, many new friends, we hope to make your sadness having to leave your dear Jackie, Ivor and Flynn less painful.
I, Zébulon, promise that all of us will do our possible to make your new life sweet and very confortable, with lot of love.

Teja (at your right, the white cat, an Italian !) : "My dear Zeb, tell me why you have waked me up so early this morning, and what we are doing here, right now, on the Rainbow bridge ?"
Zeb : "We have a very dear friend to welcome. His name is Eric, a ginger and white kitty. I have enjoyed sharing his adventures when he was walking in the fields of his nice Devonshire, at his sweet home, with Jackie, Ivor, his Humans, and his brother, Flynn...".
Teja : "Oh, I hope he finds the way to our heart easyly... We are waiting, of course... Oh, look, I see him... Come, we are going to take him in ours big paws...".
 
Réveil des Chatitoons dans la Vallée Fleurie,
au pays de l'Arc-en-ciel

Welcome, Eric, in the Flowery Valley !

COLIBRI : "Je pense bien à vous, Jackie, Ivor et Flynn".
http://twodevoncats.blogspot.com

lundi 11 mars 2013

quand Houellebecq me fait penser à... Job, ou lettre ouverte à Paola et à sa Tribu



COLIBRI : "Deux petits mots de Paola en commentaire sur un précédent message, et voilà Chipie qui me somme de répondre par un billet spé-cial. Ses désirs sont des ordres, quand elle se prend, ici, dans sa Bretagne, pour Miss Scarlett sur sa terre rouge de Tara : moi, je ne peux que suivre ; comme Rhett Butler, je cède, je cède, jusqu'à quand, je ne sais...".
CHIPIE : Voilà, Paola, euh..., je te le dis avec la diplomatie que m'a transmise mon cher frère disparu, le grand Zeb : ne parle surtout pas de Houellebecq à Colibri, ELLE ne l'apprécie pas du tout, hi, ELLE le trouve trop … vulgaire et prétentieux, j'ai essayé bien des fois de lui dire la même chose que toi, qu'il y quand même des "idées" à exploiter dans ses livres, mais ELLE me répond ne varietur "non, non, non, je ne tirerai jamais aucun enseignement de quelqu'un qui "salit" par provocation ce qui peut être très beau... ELLE me dit que, pour parler de certaines choses assez scabreuses mais néanmoins fort intéressantes, Vian y avait mis plus de poésie !
Je ne sais pas si tu seras d'accord avec ELLE, mais, ton commentaire réveillant en moi quelques réflexes de latiniste, bien que peu assidue à l'époque où l'enseignement de cette merveilleuse langue dite morte m'a été dispensé, je suis sûre qu'au moins mes potes de ta Tribu seront d'accord avec moi quand je dis : "Qui docet (v)os super iumenta terrae et super volucres caeli erudit (v)os".
COLIBRI : "Euh, Chipie, c'est Job docet !"
CHIPIE  : Rôôô, ç'aurait pu être Zeb, mieux, Teja docet"
Ma chère Paola, je n'ai aucun doute sur ton adhésion à ces sages paroles qui nous rendent justice, toi qui consacres tant de temps à mes coreligionnaires et à toutes les autres espèces à poils (je dis bien à poils avec un "s", hein !
Je te quitte, sur ce, car je dois libérer ma secrétaire qui a fort à faire en ce jour de tempête de neige sur la Bretagne ! Avec toute mon amitié, je te fais plein de câlimiaousss.
COLIBRI : "ChIpie ne cesse de me réclamer d'apprendre l'italien, depuis qu'elle fréquente la Tribu de Paola ! Heureusement que du côté de Mlle Lili, c'est moins compliqué, une fois !"
 
PS : Mlle Lili, c'est ma copine de Belgique
 
 

mercredi 6 mars 2013

mon nouveau voisin (ou ma nouvelle voisine), ou l'amour est bien égoïste !

Rédacteur du billet : CHIPIE
Par les temps qui courent, je ne saurais trop m'engager, sans heurter les sensibilités, sur le sexe de cet animal venu fureter aux alentours de ma nouvelle maison, enfin celle que j'occuperai bientôt à plein temps à ce qu'ELLE DIT, mais ELLE dit tellement de choses sans bouger ses fesses. Il ou elle a l'air sympa, hein ? Sauf que moi, pour l'instant, je n'ai pas encore le droit de sortir, Colibri a trop peur de me perdre, il faut d'abord que je m'habitue aux lieux intérieurs, pour l'extérieur, on verra plus tard. Pfff... Rendez-moi mes pentys, au moins je pouvais gambader dans les champs alentours toute la journée. Mais il y a des chiens, en ce moment, m'a-t-ELLE dit : à droite, les mastodontes de Jürgen, leur nouveau voisin allemand, devenu ami, en vacances dans sa résidence bretonne pour quelques semaines, à gauche les labradors des parisiens et leur colonie de vacances, ceux-là, on les tient au bout d'une gaffe parce que architecte+Paris, c'est l'horreuuur question suffisance ! Depuis qu'ils ont acheté la ferme de feue ma maman humaine Louise, je ne vous raconte pas ! Et je ne parle pas seulement des goûts (de chiotte, qui ne réconcilient pas avec les archi !), mais surtout de la progéniture hurlante et trépidante qui s'étale partout dans le village aux périodes de vacances scolaires ! Du coup, Colibri me dit qu'il vaut mieux, lorsque nos dates chevauchent, d'aller se reposer dans l'autre maison, à quelques petits kilomètres de là, celle qui n'est pas la leur vraiment, qu'ils ont juste louée pour y installer leurs bureaux.
Mais problème pour moi, il n'y a qu'un terrain de graviers, symboliquement clos par un grillage à poules et une barrière que je peux empatter d'un seul saut, alors ILS n'osent pas encore me laisser sortir sans surveillance, et comme ILS n'ont pas du tout le temps de me surveiller, je n'ai pas du tout le droit de sortir !!! En outre, à l'inverse des nos pentys à l'écart de la circulation, ici, il y a la grande route qui passe juste devant la maison, et le nouveau chantier d'à-côté, même si les bateaux sont plus sympas que des camions du bâtiment, génère quand même un peu d'allées et venues... Serais-je condamnée à rester enfermée parce qu'ILS ont peur que je me perde, que je me fasse écraser... ?!! Ah, leur amour est bien égoïste...

 
COLIBRI : "Il est mignon, hein ? J'espère qu'il va revenir et qu'il fera copain avec toi, Chipie... Tiens, un autre curieux, oh, mais y a foule ici, mais celui-là, je ne suis pas sûre que je l'inviterai à revenir parce que, sûr, tu vas faire une crise de nerfs !".


Mais, Colibri, pourquoi tu ne veux pas m'emmener dans nos cabanes de pêcheur en ce moment ?
COLIBRI : "Mais parce qu'il y a plein de chiens, beaucoup moins sympas que celui-ci ! Et on fait de gros travaux dans les jardins, tu sais bien...".

Mais pourquoi tu as clos le fond du terrain par un mur, je ne peux plus descendre à la mer directement maintenant par les champs de mamie Louise..."
COLIBRI : "Mais tu sais bien, depuis que ce sont les parisiens qui ont acheté ta ferme, je n'aime pas passer par tes (ex-)champs, c'est tout juste s'il ne faut pas leur demander la permission... Et puis, il y a aussi les chevaux qui viennent brouter dans nos jardins et qui piétinent tout sur leur passage. Avant, quand c'était en friche, ça ne me dérangeait pas, mais maintenant, avec la microstation qui m'a coûté la peau des fesses et les plantations que le jardinier va bientôt faire, il en est hors de question ! Pourtant, je les aime bien, ces chevaux..., ce sont mes copains aussi, je vais leur donner du pain quelquefois..."
Ben, moi je ne suis pas du tout copine avec eux, dès que j'entends leurs gros sabots dans le chemin de randonnée, je gronde et je vais me planquer dans les combles !

Et pourquoi...
COLIBRI : "Mais arrête de poser des questions, Chipie, je n'ai pas que ça à faire, te répondre..."
Et toi, arrête de dire "mais...". Chat alors, et tu t'étonnes que je boude...

J'ai TOUTES LES RAISONS DU MONDE de bouder !

Dans cette maison que je ne connais pas, il n'y a rien d'intéressant, le décor est à virer, mais ILS ne font pas grand chose, c'est juste utilitaire à leurs dires, et je suis enfermée toute la journée, pour mon bien, dit-ELLE !!!

Mais je l'aurais un jour...



vendredi 1 mars 2013

chipie et la langue de Shakespeare

ELLE m'énerve, ELLE dit toujours "j'ai d'autres chats à fouetter". Je déteste cette expression, dont d'ailleurs nos Humains ne connaissent pas exactement l'origine ni le sens précis, apparemment, et qui, semble-t-il, n'a rien à voir avec notre élégante et digne gente qui ne saurait s'abaisser à de si vulgaires figures de style, je préfère de loin l'expression, la version anglaise, "to have other fish to fry" ("avoir un autre poisson à frire"), beaucoup plus parlante, vous êtes d'accord avec moi, hein, les potes ? Sauf que, franchement, ces anglais, ils ne seraient pas un peu terre-à-terre, je ne savais que leur pragmatisme allait jusque là, vous ne pensez pas que la langue de Molière est plus élevée... 
COLIBRI :"Oh, ça va, Chipie, arrête ton blablabla, on n'est pas à l'Académie. Et tu le sais bien, Molière n'était pas Molière, hi, hi !!! Et puisque tu es si maligne que ça, viens m'aider à me dépatouiller de la nouvelle interface Blogger, je n'arrive plus à retrouver mes marques sur les blogs ! Voilà ce que c'est avec Blogger, vous vous absentez deux minutes, et tout a changé, j'ai des messages d'erreurs partout quand je blogue, les termes, les définitions ont changé, ça publie quand je veux mettre en brouillon, les dates sont toutes chamboulées pour les brouillons, bref, y a une sérieuse formation à suivre avant de redevenir ta secrétaire, ma Chipie !".